Gafam et OTA, même combat, trouver l’équilibre

Claire BécretPour un monde meilleur

Face à la domination des GAFAm et OTA, Claire vous invite à chercher l’équilibre. Un billet d’humeur en faveur d’un changement de paradigme indispensable et inévitable.

 

Google, Apple, Facebook, Amazon et autres plateformes globales de réservation que sont les Online Travel Agencies comme Airbnb sont les géants du net qui tentent de nous ligoter,  de nous enfermer dans une case, un clapier, celui de petits lapins de 6 semaines qui s’ignorent, cuisinés à la sauce capitaliste ultramondialiste pour mieux être croqués.

Pour prendre l’exemple personnel d’Amazon, on pense avoir accès facilement sans bouger de chez soi et au meilleur tarif, à l’offre limitée ou exclusive… quelle pression ! Et tout ça pour quoi ? et à quel prix ?  
Avant d’acheter en ligne, prenons le temps, le temps de réfléchir et peut-être de résister :
1/ En ai-je vraiment besoin ?
2/ Puis-je trouver la même chose sans passer par le circuit numérique ?
3/ Quels sont mes freins ? Sont-ils insurmontables ?

Côté professionnel, même combat, il faut lutter.  Lutter contre la peur de ne pas « remplir » le Lodge ou les locations si on n’est pas sur Booking ou RBNB puisque ces plateformes de réservation (très bien conçues, intuitives et séduisantes) ont le monopole du mot-clé, et du référencement naturel qui relèguent les sites personnels des petites structures indépendantes en « deathful »  page 2, donc invisibles…
Heureusement et pour le moment écoles de surf et surf camps échappent à cette toute puissance.

Chercher l’équilibre, qui évolue perpétuellement mais faire un choix en conscience qui évolue elle aussi, peut apporter une grande joie intérieure, plus grande que la satisfaction fugace d’assouvir un désir soufflé par la société de consommation à outrance, un désir pervers qui au fil du temps transforme l’être humain en être servile manquant cruellement d’esprit critique et de bon sens.

À grand pouvoir, grandes responsabilités.  À l’image d’un(e) super héro(ïne), nous avons le super pouvoir de dire NON.  Nous les consommacteurs pouvons  décider de changer de petites choses essentielles, nos chères et structurantes habitudes, rendre petit à petit un peu d’un confort au final délétère afin de poursuivre la transition (si, si, moi j’y crois), changer de paradigme et enterrer le modèle qui nous mène droit dans le mur, sans se juger les un(e)s les autres.

Pour m’y aider, j’ai lu et je vous recommande :

 

Je profite de ce billet d’humeur pour remercier tous nos « past, present and future » lodgeuse.eurs d’avoir pris la peine de fouiller, nous trouver et de nous faire confiance.

Claire